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Qui sommes-nous ?
Jérôme COLIN
J’ai toujours été intéressé par les métiers du verre, et ce, depuis l’âge de 16 ans. Je suis fasciné par la dureté, la fragilité, la pérennité, la transparence et l’élégance de ce matériau.
C’est à ce moment-là que j’ai suivi une formation de CAP de Monteur Poseur Techniverrier. Cette formation m’a appris à couper du verre en lignes droites ou en suivant des courbes, ainsi qu’à réaliser un disque dans un plateau de verre. J’ai également appris à percer le verre, soit avec une mèche diamantée, soit avec une tournette, pour obtenir des diamètres beaucoup plus importants. J’ai façonné le verre en réalisant des chanfreins et des biseaux sur des machines à eau, ainsi que des perles ou des olives, afin de pouvoir concevoir ensuite des miroirs vénitiens. Je travaillais d’abord le verre clair, avant de l’argenter.
J’ai poursuivi mes études avec un brevet de technicien Miroitier, une formation beaucoup plus technique où l’on apprend à appliquer les normes dictées notamment par les DTU.
J’ai découvert les différentes applications du verre. On utilise du verre de sécurité en le trempant ou en le feuilletant. On le monte en double vitrage de différentes épaisseurs pour ses propriétés isolantes. Le verre sert aussi bien en position verticale qu’horizontale.
Le verre peut protéger contre le feu en étant pare-flamme ou coupe-feu. Il peut aussi jouer un rôle décoratif tout en restant transparent, clair ou extra clair, voire teinté. Par exemple, le vitrailliste l’utilise pour restaurer de vieux vitraux ou, au contraire, pour créer des décorations modernes.
À l’issue de cette formation, je suis parti me perfectionner et élargir mes connaissances aux États-Unis chez Harmon-Contract W.S.A. (Baltimore) pour connaitre l’usage et la mise en œuvre du verre dans les bâtiments de grandes hauteurs. Le VEA (Verre Extérieur Agrafé) ou le VEC (Verre Extérieur Collé) peuvent être posés par grands panneaux assemblés et hélitreuillés directement du sol au sommet de la construction.
À ce stade, je maîtrisais parfaitement les produits verriers. Pourtant, poussé par ma quête de perfection et ma motivation, j’ai continué à progresser. J’ai finalement obtenu la deuxième place au Grand Concours National Diamant Verre, organisé par Saint-Gobain Vitrage. Ce concours est l’équivalent du titre de meilleur ouvrier de France dans la catégorie Miroiterie.
Ensuite, j’ai parcouru la France pour travailler. J’ai commencé par Nancy (54), puis Grenoble (38), Agde (34) et Cherbourg (50). Enfin, je suis revenu en région parisienne. Durant cette période, j’ai intégré une entreprise dirigée par un designer plasticien verrier. Là, nous réalisions beaucoup de gravure par sablage et du bouchardage. Nous faisions aussi l’incrustation de feuilles d’or ou d’autres matériaux dans le verre. Ces expériences m’ont beaucoup appris. Elles m’ont ouvert les yeux sur la diversité du travail et des environnements. Par exemple, j’ai participé à des chantiers très variés : une centrale nucléaire, une base militaire, un phare marin, une marquise, et même une cabine de douche.
Ma carrière, avant la création de Vitrine Avenue, s’est déroulée dans une entreprise datant de 1830. En effet, elle était spécialisée dans la fabrication de miroirs grossissants. Ces miroirs étaient directement usinés dans l’épaisseur du verre. Ainsi, cela permettait de créer une lentille épaisse, offrant une qualité optique bien meilleure qu’un verre bombé et argenté. De plus, nous étions N°1 mondial, présents dans les plus beaux palaces étoilés. Par ailleurs, nous travaillions aussi beaucoup le laiton. Cela permettait de le patiner, le bronzer, le chromer ou le nickeler. Depuis le début du siècle, l’entreprise avait une petite activité qui attira toute mon attention : la fabrication de vitrines. En effet, elle utilisait des structures en laiton très usitées à l’époque.
Mon patron créa pour moi une société dédiée uniquement à la fabrication de vitrines d’exposition. J’y suis resté plus de 7 ans en tant que chargé d’affaires commercial. Ainsi, j’étais en relation avec les architectes, muséographes, conservateurs de musées et autres institutions. Après avoir terminé un gros chantier au musée du Louvre — la restauration des vitrines de la Galerie d’Apollon — j’ai décidé, en 2008, de partir pour fonder VITRINE AVENUE. C’était le début de nouvelles aventures.
Aujourd’hui, cela fait déjà plus de 30 ans que je travaille dans les métiers du verre.
Notre engagement pour la planète :
SEA EXPLORER
Vitrine Avenue s’évertue à préserver vos objets d’art, vos collections, vos poduits au travers de toute sa gamme de vitrines …
Vitrine Avenue s’engage également dans la préservation à plus grande échelle, des fonds marins et espèces sous-marines, en sponsorisant le Catamaran « Sea Explorer » au côté de Terre Marine.
Terre Marine est une Scic (Société Coopérative d’Intérêt Collectif). Structure à gestion désintéressée, elle dépend du réseau des sociétés coopératives et participatives du Languedoc-Roussillon.
Elle se compose de marins, scientifiques, techniciens, enseignants, juristes, écologues permettant de regrouper différentes compétences. Quatre salariés, dix-huit associés et une dizaine de co-accompagnants pour répondre aux demandes de sorties, voyages en mer, formations, expertises, collectes et études du milieu marin.
Il paraît urgent d’amener tout public à une autre approche du milieu marin et de la navigation, ainsi que de diffuser l’apport de la recherche menée sur la mer, source de vie pour l’humanité, en la vulgarisant.
Michel et Sophie FRANCK – Fondateurs de TERRE MARINE
En tant qu’éco-citoyen et que gérant d’entreprise, il me parait essentiel de m’engager personnellement et au travers de mon entreprise Vitrine Avenue, en faveur des missions de Terre Marine. J’ai ainsi souhaité que Vitrine Avenue sponsorise le projet du Catamaran Sea Explorer.
Jérôme COLIN – Fondateur et Gérant de Vitrine Avenue
Véritable laboratoire flottant, navire à voile à vocation pédagogique, le SEA EXPLORER s’inscrit dans la lignée des projets comme TARA EXPEDITIONS qui ont initié les expéditions scientifiques contemporaines en voilier. A disposition des équipes scientifiques, le SEA EXPLORER est une plateforme d’assistance permettant d’assurer une logistique technique de pointe à des coûts maitrisés. Ce catamaran éco-conçu de 25 mètres, spécialisé en recherche acoustique sous-marine, permettra de collecter tout type de données environnementales en mer.